Philippe Bihouix est un Ingénieur français, actuellement directeur de l’AREP. Il est connu pour ses travaux dans les domaines de la transition énergétique, de la décroissance, de la durabilité et de la raréfaction des ressources minérales.
Formation & Carrière
Philippe Bihouix est Ingénieur, diplômé de l’École Centrale de Paris. Après avoir obtenu son diplôme, il a travaillé en tant qu’Ingénieur de recherche dans différents secteurs d’activités (énergie, chimie, transports, télécoms, aéronautique…). De 2011 à 2022, il a été membre du conseil d’administration de l’Institut Momentum. Depuis , il devient directeur général de l’AREP, agence d’architecture filiale de la SNCF.
Contribution de Philippe Bihouix à la transition énergétique
Philippe Bihouix s’est fait connaître pour sa critique constructive des limites des ressources naturelles et des défis auxquels l’humanité est confrontée dans un contexte de croissance continue et de consommation excessive. Il a exprimé ses préoccupations quant à la soutenabilité des modes de production et de consommation actuels.
Il est l’auteur du livre « L’âge des Low Tech : Vers une civilisation techniquement soutenable » (2014). Dans cet ouvrage, il plaide en faveur d’une approche plus sobre et réfléchie de la technologie, mettant en avant l’importance des « Low Tech » (technologies simples et peu gourmandes en ressources) pour répondre aux enjeux environnementaux et sociaux.
Conférences & Engagements
Philippe Bihouix est également connu comme conférencier. Il participe volontiers à des débats et des conférences sur les enjeux liés à l’environnement, la transition énergétique et à la durabilité. Il intervient souvent pour sensibiliser le public aux défis posés par la croissance matérielle et énergétique continue.
Par ailleurs, Philippe Bihouix fait parti des invités récurrents de la chaîne YouTube Thinkerview. Cet espace lui permet de répondre très longuement aux questions de son domaine d’expertise.
Positionnement
Philippe Bihouix se positionne clairement en faveur d’une révision profonde de notre modèle économique et technologique. Il met l’accent sur la nécessité de repenser notre approche de la technologie et de favoriser des modes de vie plus sobres. Il considère que la transition vers des modes de production et de consommation durables implique de réduire notre dépendance aux ressources rares et de préserver l’environnement.
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